Quelques mois après la présentation de sa berline porte-drapeau, Volvo nous dévoile cette fois-ci sa déclinaison break. Cette V90 remplace donc en toute logique la Volvo V70, qui était le pendant break de la S80 jusqu’à présent.
Le style suit très clairement la voie engagée par les S90 et V90, tout en élégance, mais racé et élancé. Volvo joue également la carte de l’audace pour la partie arrière, à l’image de la S90. La forme des optiques arrières adoptent en effet une forme pour moins inhabituelle, voir biscornue, mais qui n’est pas tout à fait inconnue non plus puisque la forme est en fait une interprétation moderne de la forme « historique » des optiques arrières Volvo.
La ligne globale ne cherche pas à se présenter comme un break dynamique, contrairement à la V60 il y a quelques années, et privilégie donc l’espace de chargement au look. En parlant du coffre, Volvo s’est montré avare en informations à ce sujet pour le moment. Mais avec 4m94, soit 12 cm de plus que le V70, le V90 ne risque pas de manquer de coffre. On sait en revanche que la banquette arrière se contentera d’être fractionnable 2/3 -1/3.
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Pour ce qui est des motorisation, aucune surprise non plus, les moteurs de la berline sont reconduit. Du coté diesel on trouvera les D4 (2.0 bi-turbo 254 ch) et D5 AWD (320 ch, transmission intégrale). Pour la partie essence, on trouve donc les T5 (2.0 turbo 254 ch) et T6 AWD (turbo + compresseur, 320 ch, transmission intégrale), et un pour chapeauter le tout, un T8 AWD, hybride rechargeable ajoutant un moteur électrique de 117 ch au T6, le tout pour une autonomie de 45 km. Il est tout de même important de noter que Volvo ne propose aucune boite manuelle, imposant ainsi une boite automatique à 8 rapports sur l’ensemble des motorisations proposées.
